Ce
set aborde l’été sur un style ambient
‘fairy tales’ profond et onirique.
‘Aphrodite’ semble être la manifestation
nue d’une carte postale, la mer mêlée au
soleil, qui nous rappelle d’anciens souvenir sur les
côtes ‘velvet reptile’. Le corps s'efface
et les sensations flottent, prenant de nouvelles formes pour
devenir ‘Nomad’, contempler un bleu immense, ‘water
silence’ se perdant dans le ciel et la mer confondus,
que seul le soleil ‘silent running’ permet de
distinguer de ses éclats ruisselants. Au matin, «
Haze », de cette brume propice aux songes, constamment
accrochée au flanc de la falaise, s’envolant
de la mer endormie, semble sortir des farfadets se promenant
« adrift in time » sur les contours souples du
relief. Mais se perdant sous les reflets, se lève dans
les airs, aux ailes vibrantes, une beauté irradiée
de lumière céleste « rain geometries ».
Le visible se dissout dans le crépuscule « processing
light » et l’invisible respire dans les ombres
ondoyantes « ground around », laissant réapparaître
les feux follets « halo », voyageant dans les
clartés bleutées « blue embers ».
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